Voici son email [email protected] ou son numéro whatsApp +2348119663571 Il l’a fait pour moi, je sais qu’il peut le faire pour vous ou quelqu’un près de chez vous.
]]>Moi je consulte stephane rochel depuis un moment déjà parcequ’on me l’avais conseiller et c’est le mieux finalement le bouche à oreille…
Il tombe toujours juste et je suis pas déçu, donc je le recommande pour ceux qui voudrait essayer la voyance. 🙂
]]>Mais la vie continue et ma fille avant tout !
Merci
]]>Sans cesse copié par la femme moderne pour ses aptitudes de conquête en groupe, en entreprise dans le sportsteph et dans l’entièreté des domaines dans lesquels il s’était illustré, l’homme doit maintenant se réinventer. Inutile de vouloir être plus fort, plus riche ou de savoir gérer seul une maison et une famille sans femme. Ces domaines sont passés dans les must à présent et les mouvements féministes s’appliquent à sans cesse rabaisser ce qui leur sert en fait de modèle.
Ce qui permettrait vraiment à l’homme de s’épanouir, ne serait-il pas dans un premier temps de se libérer de sa dépendance psychologique et sexuelle aux femmes. Ne sont elles pas devenues des hommes comme les autres, ou près de le devenir?
]]>sinon pour avoir votre ressenti de la place de la kinesitherapie dans votre pathologie ou qu’est ce qui vous soulage ?
Cordilament
Melissa Depierre [email protected]
]]>J’ai 51 ans, je souffre de fibromyalgie depuis 10 ans et diagnostiquée seulement depuis 6 mois. Je suis « atteinte » aussi d’une hypothyroïdie auto-immune et, la cerise sur le gâteau, du syndrome de Raynaud.
Comme beaucoup j’ai rencontré des médecins qui n’ont pas du tout fait attention à ces douleurs : c’est la tête, et j’en passe…
J’ai diagnostiqué moi-même la fibromyalgie, en faisant des recherches, il y a 5 ans jusqu’à ce j’arrive à obtenir un rendez-vous au service du centre de la douleur de l’hôpital. Surtout, ne baissez jamais les bras, même si vos bras sont douloureux (les miens le sont)…
Ma vie et mes activités ont changées. Une chose est sure, j’ai appris à faire plus attention à moi, à cesser de m’oublier au profit des autres. A me cocooner, à dire NON, à profiter de la nature, à choisir mieux mon entourage. Me sentir plus libre… Bref, à m’aimer et me faire plaisir d’avantage, même avec pas grand-chose. Rien que ça, c’est du bonheur même si j’ai mal.
J’ai une bonne bouillotte pour les jours de froid et une lampe infrarouge. Ca ne soigne pas, mais ça aide.
La balnéothérapie m’a fait du bien, le laroxyl me permet de dormir. Il ne reste plus qu’à reprendre une activité professionnelle…
Situation pas facile pour les deux sexes 🙂 Il faut garder en tête que les
besoins des hommes et des femmes sont différents, ce qu’illustre bien cet
article. Il est intéressant de jeter un œil sur ce blog concernant la
psychologie masculine
http://nouscomprendre.com/ce-que-les-hommes-attendent-des-femmes-p1/ qui
explique les besoins masculins primaires sous la lumière de l’héritage de nos
ancêtres des cavernes. Bien sûr les besoins évoluent, mais bien moins vite
que la société. En gros on pourrait classer en 4 catégories les besoins
masculins : 1 sexe, 2 que sa conjointe prenne soin de lui, 3 être aimé et
occuper la première place dans son cœur et 4 qu’il puisse s’isoler aussi
souvent qu’il le souhaite pour se ressourcer.
Pour cet article, 1 la honte je dirais que ceci revient à l’image de
l’homme fort qui saura défendre sa belle est douce et qui n’aura pas mal. 2
Le vide émotionnel, même chose on ne montre pas de sentiment pour ne pas
montrer de fragilité. 3 l’insécurité, je dois être fort et le mâle dominant.
4 la préoccupation de soi, c’est je veux être à la première place, je veux
que l’on prenne soin de moi. 5 l’expression sexuelle, ok c’est du sexe 🙂
Je serai intéressé par avoir d’autres opinions sur le sujet.
]]>Je vais probablement me faire taper sur les doigts, mais même si ce témoignage est aussi intéressant que touchant (merci l’auteure !), il a tout de même trois ans et comporte donc quelques erreurs :
notamment sur le fait que la Fibro atteins surtout
les femmes passé la 40aine. Depuis que ça n’est plus classifié comme une maladie
mentale, on s’est rendu compte que ça se déclarait dès l’adolescence, et
chez les deux sexes. Seulement, a un(e) ado et a un homme, on leur dit
un peu plus souvent « arrête de te plaindre pour rien ! » qu’à une femme.
(D’ailleurs elle le dit : « Or, la fibromyalgie passe le plus souvent
inaperçue : les autres pensent que vous vous plaignez en vain, de choses
qui passeront avec le temps » )
puis bon, le côté « tempérament des
fibromyalgique » me hérisse un peu le poil, même si c’est pas faux, c’est
tout de même s’en-cloisonner et sortir du domaine purement médical/soin.
Même si elle dit une chose très juste, dont je parlerai plus bas XD oui
j’ai écris une pavasse.
De même, je le trouve un peu… comment dire ? Victimisant pour les patients :
« Comme
il n’existe pas encore de véritable traitement, la crainte qui vous
saisit à l’annonce de votre maladie, en augmente encore l’inconfort. On
ne sait pas contre quoi l’on se bat. On sait seulement sa douleur. On se
sent crucifié.
La fibromyalgie est une affection longue durée, puisqu’elle est “votre amie pour la vie”.
Elle est extrêmement invalidante et douloureuse, et perturbe de beaucoup le quotidien des patients.
Dans
les cas extrêmes, le patient est traité à la morphine dans les centres
anti-douleur. Pour peu qu’il ait eu la chance d’y obtenir une
consultation. »
Pour
le vivre tous les jours, c’est une maladie pénible, certes, et le seuil
de tolérance est différent pour chacun, de même que la façon de le gérer ou de l’appréhender, mais je ne la considère pas
comme « extrêmement invalidante ». De même que l’expression « on se sent
crucifié » me paraît carrément extrême. En mettant en place des habitudes
et des systèmes de vie, en faisant attention, en continuant une
activité physique et professionnelle, en se faisant plaisir et en vivant
sa maladie comme une part de son existence et non comme un fardeau, on
la vit très bien (parole de libraire fibromyalgique propriétaire de sa librairie indépendante !).
Alors
oui, y’a des matins où j’ai tellement mal que j’en vomis. Y’a des
moments où je suis tellement fatiguée que j’en tombe. Y’a des jours où
je ne supporte pas le moindre contact, que ce soit celui des vêtements
où d’une personne. Y’a des jours où je ne trouve plus mes mots, y’a des
jours où j’ai des absences, y’a des jours où certains sons ou odeurs me
rendent tout simplement timbrée. Mais ce sont des jours. Même si parfois
plusieurs se suivent et se transforment en mois.
La
plupart du temps ça va. C’est une douleur comme une courbature
récalcitrante, d’une intensité s’approchant souvent plus d’une luxation
d’épaule. Mais le corps humain s’habitue à tout.
Après,
ceci dit, j’ai 26 ans, je suis diagnostiquée depuis 4 ans et j’ai mal
depuis que j’en ai 11, donc forcément, mon point de vue est probablement
biaisé rapport aux personnes diagnostiquées sur le tard à qui on fait
une montagne d’une pathologie qu’elles AVAIENT ET GÉRAIENT DÉJÀ avant
qu’on ne lui donne un nom. Et j’insiste là dessus. La plupart du temps, la fibromyalgie est là depuis LONGTEMPS.
Ce
qui pêche vraiment, la plupart du temps, c’est la communication pour
faire comprendre au médecin traitant pas toujours très au courant (la fybro est reconnue comme maladie chronique que depuis 2006/…) et a l’entourage que cette maladie est pénalisante pour
certaines choses du quotidien, dire en quoi, en parler, et surtout
faire en sorte de pouvoir faire les choses en question quand on le peut.
« Le
fibromyalgique a un tempérament altruiste, idéaliste, porté à aider le
genre humain. C’est aussi l’explication du fait qu’on lui a
généreusement remis sur les épaules les tâches les plus difficiles :
élever un enfant seule, arbitrer une famille de délirants, assumer un
travail épuisant,
être engagé dans un combat associatif ou syndical etc etc.
Une fois la prise de conscience faite, il faut changer de vie : le traitement est là. »
On passera sur le « on lui généreusement remis sur les épaules… »
Mais
la réflexion n’est pas idiote : pas question de cesser d’être à
l’écoute des autres, mais commencer a être à l’écoute de soi. Ce qui n’a
rien de moins facile, d’autant plus quand on a habitué l’entourage à
être disponible. Car même s’ils te disent « repose toi ! » dès la première
possibilité, naturellement, parce que TU LES AS HABITUE TOI MÊME A CE RÉFLEXE ils vont se tourner vers toi.
Donc communication encore, désapprendre ce qu’on a enseigné, apprendre a demander de l’aide, et surtout à dire non.
Et boudiou c’est pas simple.
« Là encore les médecines dites parallèles sont d’un grand secours.
Pour qui ne l’a jamais tenté, allez vers les homéopathes, les acupuncteurs, voire les magnétiseurs. »
Là
encore je met un bémols. Il faut certes aller voir, mais le secours
dépendra de la personne, de ses croyances, de sa sensibilité à tout ça
et de beaucoup d’autres choses !
Personnellement,
vu l’état de mon dos (il m’arrive de ne pas sentir quand on me touche)
je doute que l’acupuncture fasse quoi que ce soit. Par contre, la kiné
une fois par semaine, l’ostéopathie deux fois par ans, les bains/douche
chaud(e)s et au moins une longue nuit (10h, 12 dans l’idéal) par semaine, sont déjà des choses qui fonctionnent pour moi. Mais là
encore, c’est une question de sensibilités.
Et aussi de croyance. Je pense.
« De
même que tout ce qui peut aider à décontracter cette compression du
muscle par le stress : yoga, sophrologie, taï-chi, qi kong .
L’oligothérapie est un excellent remède. Également les OMEGA 3, et/ou
les compléments alimentaires tel que Safralite et Magalite, qui donnent
de très bons résultats. Et c’est naturel !
Si
l’on ne peut plus “faire de sport” au sens propre du terme, il faut
bouger sous peine de souffrir davantage : la marche à vive allure
constitue une bonne alternative.
Ne
pas malmener le muscle avant dix heures du matin : attendre le débrouillage. Tout simplement. » Ca, c’est excellent, en dehors de
l’histoire des compléments alimentaires. NE JAMAIS EN PRENDRE sans avis
du médecin. Sinon on dépasse allégrement les apports journaliers, et ça
rend juste malade x.x (trop de vitamine C tue le Vava)
Après,
plus rien a redire, en dehors de ce petit passage, lui aussi
malheureusement de plus en plus désigné comme faux par la recherche :
« Ne posez plus votre vie en termes de contraintes ou d’obligations
absolues : c’est précisément ce qui vous a rendu malade ! »
Certes, ça contribue a rester malade, mais la fibro est avant tout un problème de neurotransmetteurs et de nerfs.
Voilà, finit mon pavé !
Courage a tous !
La fibromyalgie n’est pas une fatalité èwé/
]]>