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Fibromyalgie : la guérison spirituelle, le surnaturel en action

Nous avons parlé longuement des symptômes qui composent le tableau de la fibromyalgie. Chaque parcours du malade se vit au singulier. Les témoignages et récits visent cependant à servir à la masse.
Alors où trouver aide, pratiquement, dans votre démarche de guérison ?

J’ai un long parcours médical. Un parcours d’obstacles, commencé à dix-huit ans, alors que je rêvais vie facile ou tout au moins « normale », métier, mari, enfants, passions.
Il n’y a rien eu de normal dans ma vie. Il y a eu des choses extrêmes, comme la médiumnité, qui a pris toute la place. Il y a eu des hommes et un enfant que j’ai élevé seule, par la force des choses. La force des choses, je l’ai très vite compris, est plus forte que la volonté humaine. Elle est une loi cosmique qui régit l’individu.
Autant dire que je ne suis pas de ceux qui croient à la pensée positive. Mais je crois au Verbe incarné, c’est à dire Dieu. Ce qui est bien différent.

Mon approche de la vie est donc peu traditionnelle. Dans les autres, je vois l’être plutôt que le genre masculin ou féminin. Je me soucie davantage de savoir si cet être vit bien sa difficulté d’être. La souffrance, la douleur physique, les longues périodes de solitude du malade, isolé dans sa bulle, je connais bien.

Pourtant, il y eut toujours des êtres et des sciences qui m’ont aidée à cheminer, aide précieuse lorsque l’on ne sait pas contre quoi l’on se bat !

Les causes profondes de la fibromyalgie font hésiter  les scientifiques.  Pour moi, qui la vis dans ma chair, je pense que c’est l’expression d’une sensibilité, tout comme la médiumnité l’est. Dans mon cas, je ressens beaucoup de choses, dans mon corps. Ce corps est baromètre hyper sensible, et je suis comme on dit canal, ou channel, pour faire plus international.
J’associe désormais cette conséquence : la fibro, à ce qui a constitué depuis toujours ma différence : la médiumnité.

En observant à la fois les patients et en m’observant moi-même, j’ai trouvé une relation flagrante, non contestable, entre les deux expressions, qui n’ont fini par n’en faire qu’une, de ma personnalité.

Pour la médecine, elle est encore partagée entre deux « écoles ».

Pour les uns, la fibromyalgie trouverait son origine dans les allergies alimentaires, et en particulier les hormones bovines. Nous ne sommes pas des vaches, c’est certain ! le lait et ses dérivés seraient donc un poison violent pour les humains et en particulier le fibromyalgique.

Je vais livrer ici un témoignage indirect : ma tante, la sœur de mon papa, car il existe des familles de fibromyalgiques, a été suivie par une homéopathe qui lui a fait adopter un régime draconien pendant trois mois. Suppression totale des hormones bovines. Ma tante était percluse de douleurs, ne marchait plus.
Au bout de ces trois mois, elle a constaté une grande amélioration, ses muscles refonctionnaient, c’est une personne qui a plus de 75 ans ! et elle souffrait beaucoup moins. Son mari et elle, grands randonneurs, ont pu reprendre les chemins de montagne qu’ils affectionnaient tant.

La contrainte du régime l’a poussée à abandonner, toutefois. Et les douleurs, les raideurs, les incapacités ont repris de plus belle.

Faut-il pour autant adhérer à cette explication ? Je n’ai pas d’opinion précise là-dessus. Cependant, cela peut être une porte ouverte à la guérison, alors, comme toujours, poussons-la !

Depuis peu j’ai supprimé le lait de vache de mon alimentation. Je bois du lait de soja, ou du lait de riz, ou de chèvre. D’ailleurs c’est facile pour moi qui n’ai jamais aimé le lait !

Je mets toutes les chances de mon côté.

La seconde explication m’a été donnée dans le centre anti-douleur auquel je me suis adressée.
Pour certains médecins, il s’agit d’un  trouble neurologique : le cerveau ferait une erreur de programmation tout simplement. Au lieu d’envoyer la sérotonine (hormone anti-douleur ) il ferait si on peut dire la sourde oreille !

La sérotonine agit comme neurotransmetteur ou neuroméditateur, dans le cas de la douleur, eh bien pour simplifier à l’extrême, la transmission ne se fait pas ou se fait imparfaitement !

Comme toujours, à nous de rester ouverts, mais prudents, concernant et les tentatives d’explication, et les tentatives de soin.
En ce moment je teste le DORZEN, précurseur naturel de la sérotonine. Au bout d’une boîte je dois dire que l’endormissement est facilité, et que si je ne fais pas ma nuit complète je dors bien mieux.

Je vous livre la notice : « DORZEN est formulé pour déclencher l’endormissement et assurer une bonne qualité du sommeil. Grâce au L-tryptophane, véritable messager du sommeil, DORZEN favorise la synthèse de la sérotonine, calme le stress et prévient les réveils nocturnes. »

J’ajoute qu’il n’y a aucun effet secondaire ni contre-indication à ce médicament.

Le DORZEN associé à SAFRALITE, donne de très bons résultats, en ce qui concerne le sommeil et tous les troubles engendrés par la fibromyalgie : jambes sans repos, douleurs diffuses, fatigue extrême etc.
Évidemment le plus difficile reste de conjuguer au quotidien ses petites siestes, chose dont on n’a pas forcément la possibilité.

Quelques bons conseils :

A Toulon, le dr Chon-Sen traite les fibromyalgies avec beaucoup de zèle. C’est un homéopathe et acupuncteur. Sa science est immense et son expérience longue.
Avant toute chose il a fait faire une recherche concernant les virus anciens : mononucléose et cytomégalovirus.
J’étais infectée au delà de la norme !

Jamais personne, en trente ans n’avait eu l’idée de faire une recherche, simple prise de sang, concernant ce que l’on croit à tort être bénin.

De ce constat, il a tiré des traitements plus adaptés, et selon sa propre expression désire mettre K.O. ces virus, qui pour être anciens n’en sont pas moins présents dans le corps.
Si  votre thyroïde est atteinte (hypothyroïdie), c’est souvent dans le tableau du fibromyalgique, de même que un autre  organe peut l’être pour cause d’hyperacidité, il est évident que votre fatigue vous accompagne et vous précède même à longueur de vie !

De ce fait même tout traitement, même bon, n’a qu’une courte durée sur votre état général.
Cela a été mon cas depuis 30 ans. Et tout en ayant les meilleurs médecins.
Aujourd’hui où l’on accorde aux virus une place importante dans le développement des maladies rares, n’hésitez pas à demander cette recherche à votre médecin traitant. Il rechignera peut-être ou en rira, s’il refuse, allez voir un spécialiste.

J’ai ainsi connu un regain considérable de vie, de vraie vie, et non pas de survie depuis l’an dernier !

Autre agent spécial à essayer d’urgence shiitake, champignon japonais qui a le pouvoir de débarrasser le sang de vos déchets !

Il est à associer à un traitement spécifique de ces virus, car tout ce qui n’est pas évacué dans les intestins reste là, à vous pourrir le sang, et donc la vie ! Anti-viral et immunostimulant, entre beaucoup d’autres choses, il a donc le pouvoir de rebooster en quinze jours à peine un organisme épuisé !

Enfin, et on ne le répètera jamais assez, évitez tout stress qui ne soit utile à votre progression.

La guérison par l’Esprit-Saint :

Comme je le disais plus haut, je sais ce que c’est que d’être au fond du gouffre. Je crois avoir passé plus de temps dans les salles d’attente des médecins, et de toutes les spécialités, qu’à vivre ma vie, qu’à m’oxygéner, qu’à faire des sorties et voir de belles choses. C’est que j’étais maman solo, avec un enfant entièrement à charge, sans pension alimentaire, sans vrai travail, sans sécurité autre que celle de ma famille toutefois bien accablante, car il n’est pas aisé de devoir demander aide à ses parents alors que l’on a atteint depuis longtemps l’âge adulte.
J’ai dépassé le stade de l’humiliation, ou de la culpabilité. Ce sont deux choses qui ne sont pas utiles et bloquent la progression.
Lorsque les humains n’ont plus suffi à la mienne, je me suis naturellement tournée vers Dieu.
C’était ça ou mourir. Il est dommage que l’on n’arrive souvent à Lui que dans des extrêmes et je vais vous raconter comment cela s’est produit. Les miracles existent !

L’aveugle et le paralytique :

Déclarée incurable en 2004, le coup fut plus que rude. Le désespoir est tombé sur mes épaules et la vie est devenue une punition. Toutefois j’avais pour moi ma démarche spirituelle, commencée vers mes dix huit ans, suite à mon anorexie. Tournée vers l’Invisible, j’ai encore une fois fait ce pari, après d’obscurs et interminables examens de conscience, dont je vous passerai les détails.
Chaque malade sait de quoi je parle.

J’avais entendu parler d’un monastère où se faisaient les guérisons. Il était dans le Var, mais personne n’était capable de me dire exactement où ! Pendant des années, dans ma sphère, je demandais autour de moi où étaient ces sœurs dominicaines qui guérissaient.
Finalement c’est Internet qui vint à mon secours, je recherchais dans Google quelque chose et finalement je tombai sur Notre-Dame de Clarté ! à Salernes.

Oui, les sœurs avaient un site, et ledit site explicitait comment s’y rendre et surtout quand avait lieu la fameuse prière pour les Malades : le premier samedi de chaque mois.

C’est ainsi que le premier septembre 2007 j’allais vivre une extraordinaire aventure spirituelle qui allait changer le cours de ma vie. J’avais sympathisé via un site avec un garçon généreux, marseillais comme moi et qui était un malade. Jean-Pierre à qui j’avais toujours accordé une écoute, m’avait proposé de nous rencontrer et c’est ainsi que lui faisant part de ce qui me touchait, il  devint spontanément l’envoyé qui allait me permettre la guérison.

Il n’était pas croyant, sa mère était athée, son père juif non pratiquant. Il n’avait donc aucun à priori ni aucune connaissance ou croyance particulière. Il avait seulement un grand cœur et c’est lui qui me conduisit sur le chemin de Salernes, avec sa bonne humeur, sa compassion et son cancer de stade 3.
Nous avions sans le savoir, en filant allégrement par une superbe journée ensoleillée à travers les petites routes verdoyantes de l’arrière pays varois, ouvert une brèche à Dieu et Dieu allait nous combler de sa grâce.

Je vais vous raconter comment le surnaturel fait fi du naturel, comment ce que nous croyons impossible pour nous est possible à Dieu.

Rendez-vous très vite entre nous qui savons à quel point l’humain est limité…

 

 

 

 

 

 

 

L'auteur : Quinquageniale

"C'est finalement au plus fort de l'hiver que j'ai compris qu'il existait en moi un invincible printemps".


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  • Arnaud Bambino

    Bonjour et merci pour votre blog.

    Vous parlez du dr Chon-Sen, j’habite à toulon, et j’aurais bien aimé le rencontrer.
    Je n’arrive pas à trouver d’information à ce sujet,croyez vous qu’il exerce toujours?
    Je vous remercie beaucoup.
    Arnaud.